Il me restait quelques envies à réaliser :
- Apprendre à nager, ça c'est fait depuis peu.
- Devenir couturière. Un rêve à l'adolescence.
Mais une porte claquée au nez : passe ton bac d'abord. Alors aujourd'hui, je vais me venger sur la couture poupesque, à voir bientôt ici.
- Apprendre à faire de la dentelle aux fuseaux. Ayé, c'est en cours !
Après 3 cours de 4 heures voici mes exercices. Je pense les mettre en scène sur un cahier textile.
Surtout ne pas s'emmêler les fuseaux !
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Une bonne poire...
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Avez-vous lu ce livre ?
Je l'ai avalé goulûment en une demi-journée. Je vous le recommande. Il philosophe autour d'une évidence qu'il est bon de se rappeler de temps en temps.
Citations :
"Je possédais ce que l'argent ne pouvait pas acheter mais juste détruire.
Le bonheur.
Mon bonheur, en tout cas. le mien. Avec ses défauts. Ses banalités. Ses petitesses. Mais le mien."
"Même les mamans mentent. Parce qu'elles aussi, elles ont peur."
"J'aimerais avoir la chance de décider de ma vie, je crois que c'est le plus grand cadeau qui puisse nous être fait."
Je n'ai pas vu le film adapté de ce livre. Il se passe dans un lieu de nostalgie et de perdition pour moi, une mercerie, alors j'ai préféré m'abstenir.
J'avais 11 ans quand j'ai quitté cette ville de Lorraine. Mais il me reste le souvenir indélébile de la mercerie, de son odeur, de la multitude de boîtes de boutons, de cartons plats de lingerie fine, et du nom de la mercière, Mademoiselle Guégand, souriante, jolie et parfumée.
Tout un univers de féminité, de beauté, de douceurs, de couleurs, de textures, de matières qui donne envie de faire, de créer, de rêver aussi...
Et aujourd'hui, les merceries ferment les unes après les autres.
Allez Pom, un sourire. Les temps changent… Euh… Non, ils évoluent.