Il était une fois... En 1857 à New-York, des ouvrières du textile ont manifesté pour protester contre leurs conditions de travail injustes. Ce n'est qu'en 1975 que l'ONU instaure le 8 mars comme Journée internationale des droits de la femme.
Réjouissons-nous, mes sœurs (et quelques frères !), grâce à elles, nous bénéficions des plus jolis tissus pour nos loisirs créatifs.
Toutefois n'oublions pas tous les ouvriers et ouvrières du textile dans le monde entier qui ne bénéficient pas des mêmes droits que nous, et qui triment dans des conditions lamentables pour notre petit confort.
Parlons Femmes, c'est le jour où jamais.
Un souvenir inoubliable pour moi, le jour où Madame Simone Veil est entrée dans mon bureau. Surprise, j'ai à peine eu le temps de me lever de mon fauteuil qu'elle était déjà devant mon bureau. J'ai la poignée de main plutôt ferme, alors sa main m'est apparue si douce, pour une femme si forte. Elle venait en toute simplicité me féliciter pour l'idée toute bête que j'ai eu dans le cadre des transferts de compétences lors de la décentralisation. Idée toute bête qu'on ne peut pas trouver quand on sort de l'ENA !
J'aime beaucoup la dernière strophe de la chanson :
Femmes, je vous aime Si parfois ces mots se déchirent C'est que je n'ose pas vous dire Je vous désire Ou même pire
Eh oui, plus rien à voir avec les Droits des Femmes ! Mais c'est si joli !
Femmes sensibles et indulgentes,
Joyeuses, rêveuses et apaisantes,
Vous qui toujours à bout de bras
Tenez ce monde si ingrat,
Ce monde qui sans vous les femmes
Perdrait sans doute un peu son âme,
Vous qui portez en vous l’amour
Soyez remerciées en ce jour.
Belle journée à vous, Mesdames.
« Soyez sûrs qu’une longue patience, que des chagrins jalousement cachés ont formé, affiné, durci cette femme dont on s’écrie :
Elle est en acier !
Elle est en "femme", simplement -
et cela suffit. »
COLETTE